mardi 28 juin 2011

Fashion Week SS 2012 / prêt à porter hommes / 22 juin

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I) Défilé Ehud à l'Espace Commines














II) Présentation Ami Alexandre Matiussi au café Soprano









III) Backstage John Lawrence Sullivan aux Docks en Seine (trop mal placé pour faire de bonnes photos du défilé)


jeudi 16 juin 2011

Direction artistique de la Galerie Hors-Champs

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Ca fait plus de 8 mois que je n'avais rédigé aucune note pour faire part de mes actualités en dehors des shootings. J'ai pourtant été exposé deux fois, mais ces deux fois (du genre, "on te prévient la veille" ;-) ne m'ont pas laissé le temps de faire ma pub, ni ici, ni sur facebook, ni auprès de la presse. Il y avait en janvier cette exposition de Franck Marchal dans son hôtel particulier à Melun, le "Lab'Art", en compagnie du peintre Niyaz Najafov (représentant, notamment à la biennale de Venise, de l'art contemporain d'Azerbaïdjan) et de la sculptrice russe Daria Surovtseva. Puis, autour de mars, j'ai été contacté par Mathieu Dorlé pour glisser quelques photos dans la boutique éphémère Gaspard Yurkievich située rue Quincampoix, dont c'était par la même occasion et en premier lieu l'ouverture. Il est d'ailleurs question de réitérer l'expérience d'une manière plus officielle -mais nous verrons bien.


(Photo diffusée dans je-ne-sais-quel-canard. Notons au passage qu'au delà de l'approximation littéraire et journalistique de l'article (LOL), les gens sont définitivement incapables de bien orthographier mon nom^^)




Ce qui m'amène à rédiger cette note est avant tout l'annonce de la signature de mon poste de directeur artistique de la Galerie Hors-Champs. Vous ne la connaissez pas encore mais vous allez vite en entendre parler. La Galerie Hors-Champs va prendre la place de la Galerie Franck Picon, située au coeur du Marais, 13 rue de Thorigny, soit au juste milieu entre vos siestes de la Place des Vosges et vos vernissages des incontournables temples du Haut Marais.
Je vais en passant mettre fin aux ragots selon lesquels nous ne comptons exposer que moi même, puisque le vernissage, qui aura lieu début juillet, mettra en lumière, en ombres et lumières, en grésillements et pulsations, le sublime travail photographique de Vincent Descotils : http://www.artlimited.net/image/fr/276812.
Il s'agira donc de la première étape à cette nouvelle démarche de diffusion et de découverte que Bernard Pegeon, Jean Christophe Compin, et moi même, entreprenons dans l'art contemporain. Je vous tiendrai très vite au courant.










lundi 13 juin 2011

Et que jeunesse se fasse...

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Parce que l'appart de Pascal (Pascal en lui même), m'a rappelé une poésie de jeunesse :

Une affiche du Velvet Underground contre le mur, contre le lendemain, la guitare en forme de banane est suspendue sur sa soif insatiable d’interruption –contre le mur, contre le lendemain, suspendre contre lui et puis l’amour tant qu’à faire, la voix de Lou Reed ou cymbales sabbatiques. Il me dit qu’il est un présent pur. Que je peux rentrer dans lui qu’il existe une multitude de chenaux. Il y a aussi les draps pâmés, berçant en leur sein des mouchoirs éjectés d’images clandestines. Il y a aussi les cheap mondays, blanc noir bleu, ils enserrent de leur tissu ces images entassées comme un rite litanique ; il y a aussi les vieux films érotiques tournés avec les soirées de passage. Ses membres.
Il y a ses membres.
Des compositions de souvenirs arrêtés, englobés, un support.


Je goûte ses mains, ses cuisses, ses aisselles son anus, je goûte les effusions chaudes de ses postures défaillantes.
Il empeste l’odeur des chambres non-aérées, étudiantes, fumeuses de cigares ou de joints qu’on frôle encore d’un égarement de pied leur papier usagé sous les lits, corps usagés, usagés sous les froissements de la nuit insomniaque et les feuilles, les devoirs qu’on se refuse à rendre et les bouteilles, et les nausées voyageuses s’y évaporant avec embarras. Je le touche. La mémoire est meublée par les gueules de bois, le tâtonnement de leur limite. C’est dans ce point jouissant d’hésitation que je trouve le plus de douceur. Il est un organe, tous ses objets les témoins, cette masse d’assemblements incomplets aux connections nostalgiques, un organe, nu.


Articule-le, dit-il.


Son mécanisme m’apparaît alors dans sa plus grande, sa brute simplicité.


Et il me fait goûter encore : il y a aussi des pages de romans arrachées pour se maquiller de dessins, des compiles aux fières jaquettes masquant leur contenu, de fredonnements attrapés là où ils se recueillent. Il y a, aussi, des heures à se regarder dans son ombre en cherchant la certitude qu’elle restera bien là à distance. Je suis son mécanisme ; il me faut actionner prononcer, je pénètre son présent et ses membres indistincts. Je me dis, un devoir de ponctuation, d’alignement, la ligne ment et semble s’enfuir : elle s’auto-alimente. L’amour tant qu’à ne pas s’en faire, ne pas s’y faire. Tu m’enlaces.
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vendredi 10 juin 2011

Portraits

Hélène et Syd (des Burnin Jacks)




lundi 6 juin 2011

Quelques nuits à l'Anthracite

I) Bizarre Love Triangle









II) Garçons en Culottes Courtes