lundi 30 janvier 2012
Fashion Week FW 2012/13 / menswear / partie 1
06:52 |
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Une fashion week un peu tristoune, engrisée par la pluie, le froid, la fatigue, quelques difficultés photographiques, et un décès familial. Il ne nous reste plus qu'à baver sur les mannequins...
I) Défilé Christian Lacroix au Beaux Arts
(Tom Barker)
(André Feulner)
(Igor M (droite))
II) Présentation Ami Alexandre Mattiussi
(Daniel Bambad)
(Daniel Bambad, Fabian Schweizer (droite))
(Antoine Miller)
(Nicolas Ripoll)
(Antoine Miller et Sebastian Sauve)
(Sebastian Sauve)
(Sebastian Sauve)
III) Défilé Henrik Vibskov au Salon Vianey
(Vava Dudu, Aymeric Bergada du Cadet, Olivier Mulin)
(Henrik Vibskov)
(Isabel Felmer)
(Benjamin Dukhan)
(Aymeric Bergada du Cadet)
mardi 17 janvier 2012
Exposition Hiroko Koshino à la Galerie Hors-Champs
10:58 |
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La Galerie Hors-Champs présente
Hiroko Koshino
Artiste peintre
Exposition du 24 janvier 2012 au 29 février 2012
Vernissage le 24 janvier 2012 de 18 heures à 21 heures
Journée Presse le 25 janvier 2012
On
connait avant tout Hiroko Koshino pour le travail acclamé qu’elle
produit dans la Haute-Couture, plus que par ses talents de peintre. Et
pourtant, ce sont ses recherches picturales qui ne cessent de nourrir
ses créations de mode (jusqu’à les insérer dans des robes), de guider
leurs compositions, leur jeu de lignes, de textures et de couleurs.
La
peinture de Hiroko Koshino puise dans l’art traditionnel japonais, pour
s’orienter peu à peu vers un travail formel très personnel. La Galerie
Hors-Champs a choisi de sélectionner et d’exposer, parmi l’ensemble de
son œuvre, les peintures abstraites, qui sont les plus récentes et les
plus représentatives du juste milieu entre l’héritage culturel qui
l’habite, et une radicale contemporanéité.
La
vitalité émanant de ses toiles à l’encre de chine en est simultanément
l’instrument et l’objet. L’encre de chine n’utilise que le noir, elle
contraint à la sobriété, à l’épuration des émotions autant qu’à
l’impulsivité de son expression – ce qui ne retire en rien l’étendue des
teintes que produit son mélange avec l’eau.
Sur la toile blanche, les coups de pinceau de Hiroko Koshino s’éjectent, souvent avec violence, parfois avec apaisement. Ils paraissent danser en une savante chorégraphie, dont l’équilibre des valeurs est un support pour donner vie à un dialogue intérieur, comme des notes qui répondent au silence. Dans certains tableaux leur trajectoire, ainsi que leur masse, ne sont pas évidentes, sont faites d’imprévisibles détours, d’hésitations ; la dynamique recherchée y est formulée sans simplification mais au contraire avec toutes les nuances qui la définissent.
Sur la toile blanche, les coups de pinceau de Hiroko Koshino s’éjectent, souvent avec violence, parfois avec apaisement. Ils paraissent danser en une savante chorégraphie, dont l’équilibre des valeurs est un support pour donner vie à un dialogue intérieur, comme des notes qui répondent au silence. Dans certains tableaux leur trajectoire, ainsi que leur masse, ne sont pas évidentes, sont faites d’imprévisibles détours, d’hésitations ; la dynamique recherchée y est formulée sans simplification mais au contraire avec toutes les nuances qui la définissent.
Les
toiles en couleur, quant à elles, évoquent des paysages, leur
composition fait écho à de contemplatives estampes murmurant la
silhouette des montagnes, mais ils semblent cachés par de successives
couches, de sorte qu’on les devine juste, derrière, comme un souvenir.
Ces couches se terminent par des lignes verticales, qui prennent leur
base en elles, rouges noires ou blanches dans un contraste appuyé, et
qui coulent littéralement sur les directions horizontales, telle la
ligne d’un paysage, des premières couches. Ce sont elles qui animent la
toile.
L’effet immédiat est de l’ordre de l’organique. On peut voir dans ces coulures des veines, des ruisseaux de sang s’échappant de la toile, souvent avec violence. On peut aussi y voir un rideau végétal, de lianes ou de racines, mais chez Hiroko Koshino le corporel et le végétal se rejoignent, respirent ensemble, cherchent vers l’en bas, vers la terre, l’énergie pour s’alimenter. De même que dans le christianisme les menstrues apparurent lorsqu’Eve dû quitter le ciel (la vie éternelle) pour la terre (la vie mortelle), soudainement Hiroko Kishino engage avec les écoulements de sa peinture une méditation sur la finitude, donc sur la vie.
Car c’est bien la vie que les lignes expriment, en s’extrayant de « l’intérieur » de la toile, et qu’elles font sécréter. Elles suggèrent un ailleurs, et sont ainsi une indication spatio-temporelle, un espace qui parle du temps et un temps qui parle d’espace – dans la mesure où ces deux notions n’existent que pour porter, par le biais de la peinture, les impressions (introspectives, souvent sombres, quelques fois sexuelles aussi) qui l’ont fait naître.
L’effet immédiat est de l’ordre de l’organique. On peut voir dans ces coulures des veines, des ruisseaux de sang s’échappant de la toile, souvent avec violence. On peut aussi y voir un rideau végétal, de lianes ou de racines, mais chez Hiroko Koshino le corporel et le végétal se rejoignent, respirent ensemble, cherchent vers l’en bas, vers la terre, l’énergie pour s’alimenter. De même que dans le christianisme les menstrues apparurent lorsqu’Eve dû quitter le ciel (la vie éternelle) pour la terre (la vie mortelle), soudainement Hiroko Kishino engage avec les écoulements de sa peinture une méditation sur la finitude, donc sur la vie.
Car c’est bien la vie que les lignes expriment, en s’extrayant de « l’intérieur » de la toile, et qu’elles font sécréter. Elles suggèrent un ailleurs, et sont ainsi une indication spatio-temporelle, un espace qui parle du temps et un temps qui parle d’espace – dans la mesure où ces deux notions n’existent que pour porter, par le biais de la peinture, les impressions (introspectives, souvent sombres, quelques fois sexuelles aussi) qui l’ont fait naître.
L’abstraction,
chez Hiroko Koshino, est de celle que l’on voit agir, en mouvement. Les
visions qu’elle porte vont et viennent en un flux salvateur, traversant
sur la toile toute la gamme d’accords corporels, avec la variation d’un
défilé. Elle est un témoignage.
Hiroko Koshino est née en 1937, elle vit et travaille a Tokyo.Issue d’une famille renommée dans la mode et le textile, Hiroko Koshino étudie la mode au Bunka Fashion College de Tokyo, où elle gagne le 1er prix de design du Nippon Designers Club. En 1964, elle ouvre la première boutique haute-couture de Shinsaibashi, et, vers la fin des années 70, elle fonde avec des jeunes créateurs comme Kenzo Takada, Yohji Yamamoto, Tokio Kumagai ou sa soeur Junko Koshino, le TD6, qui deviendra The Tokyo Collection.
C’est en 1978 que Hiroko Koshino fait son entrée fracassante dans les fashion weeks européennes (première styliste japonaise présente à l’Alta Moda de Rome), puis mondiales, où elle présente ses collections jusqu’en 1992. Elle ne s’y remet qu’en 2009, une longue absence afin de se consacrer à la peinture et à ses expositions, ainsi qu’à ses multiples collaborations artistiques avec des designers et architectes, notamment Tadao Ando.
Elle est lauréate du Mainichi Fashion Grand Prix en 1997, et du Osaka Art Awards en 2001.
EXPOSITIONS :
2011 - Exposition au Musée des Arts Décoratifs (Paris)
2010 - Exposition à la Cité de l'Architecture et du Patrimoine (Paris)
(La liste des expositions au Japon est à venir)
CONTACTS :
Bernard Pegeon : 06 64 11 17 41
Hannibal Volkoff : 06 66 87 83 05
Joanna Karachalios : 06 48 80 73 22
dimanche 15 janvier 2012
Quimiac, la plage aux ricochets glacés
06:37 |
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J'aime bien ce genre de titre de roman d'adolescence des années 60
Avec Elias Duparc, Syd Alexander, Sandra, Valentin et Juan.
Pas de photo de plage, par contre, faut pas déconner.
lundi 9 janvier 2012
Les oracles d'une vie parallèle (poses et décomposes)
19:41 |
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Performances lors de la "Before du Musée du Quai Branly", le 6 janvier 2012
I) Helena De Laurens
II) Kiddy Smile
III) House Of Drama
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